AFIN D\u2019\u00c9VITER LES CONS\u00c9QUENCES FINANCI\u00c8RES INDUITES PAR LA D\u00c9POSE D\u2019UNE TOITURE AMIANT\u00c9E, D\u00c9CISION A \u00c9T\u00c9 PRISE DE METTRE EN OEUVRE UNE SURTOITURE POUR CETTE CONCESSION AUTOMOBILE BRETONNE, ET DE RECOUVRIR L\u2019EXISTANT. EXPLICATIONS.<\/p>\n
Des ann\u00e9es 70 jusqu\u2019\u00e0 1997 et son interdiction, l\u2019usage de l\u2019amiante \u00e9tait fr\u00e9quent dans nombre de constructions, de l\u2019habitat individuel au b\u00e2timent d\u2019entreprise. C\u2019est justement ce dont ont pu se rendre compte les responsables d\u2019une concession automobile situ\u00e9e \u00e0 Caudan, \u00e0 proximit\u00e9 de Lorient, dans le Morbihan. La toiture originelle du b\u00e2timent, en plaques ondul\u00e9es de fibrociment, pr\u00e9sentait depuis quelque temps d\u00e9j\u00e0 des signes de vieillissement \u00e9vidents, avec un fort risque d\u2019infiltrations, compte tenu des fr\u00e9quentes intemp\u00e9ries que conna\u00eet la r\u00e9gion. Un vaste chantier
\nde r\u00e9novation \u00e0 pr\u00e9voir vu la surface de l\u2019entreprise : trois halls de 1 400 m2, soit 4 200 m2 \u00e0 refaire. Et un probl\u00e8me qui change de dimension lorsque l\u2019amiante entre dans l\u2019\u00e9quation\u2026<\/p>\n